De la fenêtre de Simone Le clocher ment Le ciel est vierge Mon fiel est blanc Le clocher ment Et l'automne l'avale de sa bouche enfumée Et des pommes mûrissent sur des couches de papier Le clocher ment Mon fiel s'y pend Le ciel est cierge Du miel tout...
Lire la suiteL'homme à la chemise de rosée
Il y a sur ton corps Une chemise de rosée J'y rangerai ma peau J'y rangerai ma peau Et un long serpent doré J'y rangerai ma peau Et nos larmes désarmées
Lire la suiteLes abîmés aux pierres de lune
Premier texte, Non, il n'est jamais bon de remuer les couteaux dans les plaies. Les abîmés, il faut les laisser parler. Il faut les laisser s'étendre, se distendre, se répandre et s'épancher. Leur offrir une petite place, même s'ils en prennent de trop....
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