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De la fenêtre de Simone,
Le ciel est bleu,
Le ciel est rose.
Il n'y a rien d'autre que je compose.
Le monde est rouge,
Il y a le vent,
Et si je bouge,
Je m'évapore
Dans le sang d'un peuplier.
De la fenêtre de Simone,
Il y a d'autres fenêtres ouvertes
Et des rideaux à demi-tirés.
Il y a des hommes pour m'épier
Quand ma robe s'empourpre sur le balcon,
Ses fleurs y valsent à leur façon.
Il y a ces deux hommes
Qui se promènent
Avec la prostituée blonde.
Il ya ces hommes qui se démènent
Au café où je ne vais plus.
Il y a celui qui se ramène
Au café où je vais encore,
Mais mon désir s'est suicidé
Par la fenêtre de Simone.
De la fenêtre de Simone,
Mon fiel est bleu,
Mon fiel est rose,
Il n'y a rien d'autre que je compose.
Et si je bouge,
Je métaphore
Dans le sang d'un encrier.
Poésie? Serial vieillards? Si c'est dur la poésie!
Le ciel est bleu,
Le ciel est rose.
Il n'y a rien d'autre que je compose.
Le monde est rouge,
Il y a le vent,
Et si je bouge,
Je m'évapore
Dans le sang d'un peuplier.
De la fenêtre de Simone,
Il y a d'autres fenêtres ouvertes
Et des rideaux à demi-tirés.
Il y a des hommes pour m'épier
Quand ma robe s'empourpre sur le balcon,
Ses fleurs y valsent à leur façon.
Il y a ces deux hommes
Qui se promènent
Avec la prostituée blonde.
Il ya ces hommes qui se démènent
Au café où je ne vais plus.
Il y a celui qui se ramène
Au café où je vais encore,
Mais mon désir s'est suicidé
Par la fenêtre de Simone.
De la fenêtre de Simone,
Mon fiel est bleu,
Mon fiel est rose,
Il n'y a rien d'autre que je compose.
Et si je bouge,
Je métaphore
Dans le sang d'un encrier.
Poésie? Serial vieillards? Si c'est dur la poésie!