Ex.1
J'ai appris à crier quand le fou sort du bois.
Ce n'est pas au bûcher qu'on mène les filles
De joie. Il est d'un port qui ne m'a jamais crue,
Dont les eaux trop riches coulent en illusions,
Putes sans effraction! J' en ai oublié les rimes!
Est-ce un texte politique?
ça pourrait et ça ne pourrait pas.
Si c'est difficile la pause et rit!
à suivre ou à ne pas suivre.
Normalement, je termine toujours
Ex.2
C'est dans ce petit bois où je me suis réfugiée
Pour écrire des mots sans crainte d'attiser
Les averses du fiel que je suis dépliée,
Comme une feuille unie à l'encre à tamiser.
Pour retrouver ma voix chère est ma solitude,
Et c'est l'arbre du temps qui prolonge ma main,
Celui qui ne ploie pas même par habitude,
Et c'est tout mon amour et c'est mon esprit sain.
Dans l'aubier de son coeur j'y ai versé mes larmes
Et dans le mien creusé sa sève d'écriture,
Et dans nos yeux si bleus nos perles de culture.
A l'aube de nos coeurs j'ai déversé mes armes
Et dans le tien rongé un arc-en-ciel du vent
Et c'est toi qui me lit la paix de l'innocent.
ça va très vite me fâcher les rimes!
"Comme une feuille unie à l'encre tamisée!"
WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARF!
C'est le plus poétique! On est bien d'accord!
Bon, faut que je recommence tout alors.
Ce n'est pas gagné, la greffe!