Nous sommes des Colombines
Des oiselles bien loin d'êtres divines
Mais des oiselles de la paix
Nos pas m'amzelles
Sur les zébrures
Du soleil
Nous sommes des Colombins
Des oiseaux bien loin d'être divins
Mais des oiseaux messagers
Nos bottes nos lieues
Sur les rayures
De la Seine
Nous sommes des Colombes
Non échappées du chapeau d'un magicien
Mais tirées des cheminées d'une usine
Qui nous a forgé une sorte de festin commun
Nous sommes fils et filles de Gargantua
Et amis d'une princesse
Endormie près d'un vase
Nous sommes des enfants Bourguignons
Et amis de la tendresse
Ravivée sous les rages
Nous sommes des Colombins et des Colombines
Et l'étranger a sa place
Attablé devant un bon verre de vin
Et l'exilé en garde une trace
Installé devant ses souvenirs enfantins
Il m'a été inspiré par la lecture du blog de Cristaldesaintmarc(le blog d'une châtillonnaise, voir liens) et par ses articles concernant mon village d'origine, Sainte-Colombe Sur Seine.
Evidemment, c'est un peu idéalisé
Des électeurs du ptit fn minable, il y en a sûrement comme partout