Il reste ce poète connu à qui javais demandé conseil une seule fois qui m'a écrit pour résumer que j'écrivais de la merde. Je lui en veux encore et ai bien du mal à retourner sur son site.
Que j'écrive de la merde ou pas, je n'ai jamais vraiment cessé d'écrire. Uniquement pour le plaisir d'écrire.
Après, je me suis toujours définie comme une "écrivaillonne" et une "écrivaillante" et jamais comme un écrivain.
Je n'ai jamais abandonné quelques projets. Je ne sais pas moi-même si je réussirai. Le temps m'est compté aussi. ça ne fait rien. J'y crois toujours.
Je ne lui dis pas merci ! non plus.
Je le lirai. Vous ne saurez pas son nom. Savoir quel poète il est. La curiosité, et si je vais trouver sa poésie poétique, et/ou intéressante. Je crois qu'il est aussi écrivain.
Après, j'ai fini par comprendre un truc, écrire et n'écouter personne.
Mon blog, je l'appelle mon terrain de jeu. Y écrire même de la merde ne m'angoisse plus beaucoup.
Je trouve juste dommage ces jugements hâtifs. Après, je devais être dans une période où je doutais tellement que j'avais sans doute espéré une sorte d'encouragement. J'ai appris à m'encourager toute seule, ce n'est pas plus mal.